Voilà, le truc qui m'a fait rire cette semaine, c'est qu'ici, ils font de la pub pour la bière à l'université. Et comme c'est pas à TPE qu'on verrait ça, j'ai pris des photos !
WE du 23 au 25 mai 2008 : « Uluru » ou le symbole de l'Australie !!!
Voilà, ce WE, avec Mathieu B., on est aller voir ça :
Le premier truc rigolo ici, c'est la prétention de ce petit aéroport qui se prend presque pour Roissy. J'explique : après être descendu de l'avion directement sur le tarmac, tu vois les employés de l'aéroport décharger les soutes dans une remorque derrière un petit tracteur et aller les déposer sur un tapis roulant près de l'unique bâtiment. Trente secondes plus tard, tu rentres dans le bâtiment (tu passes de l'autre coté du mur), et tu vois tes bagages arriver sur un beau tapis roulant, exactement comme dans un grand aéroport ! Si t'avais pas vu tout le reste avant, t'y croirais presque !
Une fois nos bagages récupérées, on prend le bus direction l'unique station qui regroupe un choix de résidences du camping à l'hôtel 3 étoiles (avec un seul exemplaire de chaque). Pour nous, ce sera le « Backpacker », soit un classique australien, genre auberge de jeunesse, mais pas que pour les jeunes : l'option la moins cher après le camping. Ensuite, on visite un peu les lieux en attendant d'aller voir un « sunset » (un coucher de soleil) : la grosse attraction pour touristes. Là-bas surprise, nous qui croyions voir le soleil se coucher derrière le rocher, c'est tout le contraire... On nous explique qu'avec le soleil dans le dos, on voit mieux les changements de couleurs sur le rocher... On leur fait confiance, ils ont dû étudier le truc : y a que ça à faire ici ! Et comme on arrive toujours un peu en avance, tout est prévu : un petit verre d'une piquette australienne nous attend sur place.
Le soir on prend des forces avant la grosse journée de demain. Au menu : bière locale et brochettes de crocodile au barbecue.
Samedi matin, on décide de louer des vélos et de pédaler la vingtaine de kilomètres qui nous sépare du rocher. Où on loue les vélos : on prend soin de demander si ils ont pas de quoi réparer en cas de crevaison... Négatif, mais pour nous consoler, on a droit à deux très beaux casques qu'on portera toute la journée : loi australienne oblige ! C'est partit donc pour le tour du propriétaire : station – Uluru d'abord (20 km), puis musée aborigène, tour du rocher (10 km), avant de terminer par la fameuse ascension en plein cagnard (300 m de dénivelé à 10% en moyenne avec un début à pas loin de 40%). En chemin on commence à se dire qu'on va en baver pour rentrer à la station en vélo... Mais le jeu en valait la chandelle : comme on dit ici : « Enjoy ! ».
En fin d'après-midi, quand on redescend : mauvaise surprise, le pneu avant de mon vélo, qui rétrospectivement devait se dégonfler depuis le début de la journée, est à plat ! Nous voilà donc à 20 bornes de la station avec un vélo et un épave pour deux. Notez qu'en plein désert, les téléphones portables ne captent pas. Heureusement, on trouve de l'aide au musée aborigène... Bilan : on vient nous chercher en voiture (ce qui, même si ça nous embête un peu, n'est pas si mal, vu ce qu'on a fait aujourd'hui) et on nous fait cadeau de la location du vélo défectueux... Tout bénef. !
Le soir, on profite d'un dernier coucher de soleil depuis la station.
Ca, c'est « Uluru » (le vrai, l'unique ! ) : un rocher de plus de 300 m de haut planter au beau milieu de l'« Outback » (plaine désertique australienne) au centre de l'Australie. Vendredi matin on décolle donc pour « Ayers Rock » où on atterrit environ 4h plus tard... Autour de nous : une unique piste d'atterrissage/décollage, notre avion, 200 touristes, un petit aéroport, et un désert de terre ocre recouverte de touffinettes de verdure à perte de vue...
Le premier truc rigolo ici, c'est la prétention de ce petit aéroport qui se prend presque pour Roissy. J'explique : après être descendu de l'avion directement sur le tarmac, tu vois les employés de l'aéroport décharger les soutes dans une remorque derrière un petit tracteur et aller les déposer sur un tapis roulant près de l'unique bâtiment. Trente secondes plus tard, tu rentres dans le bâtiment (tu passes de l'autre coté du mur), et tu vois tes bagages arriver sur un beau tapis roulant, exactement comme dans un grand aéroport ! Si t'avais pas vu tout le reste avant, t'y croirais presque !
Une fois nos bagages récupérées, on prend le bus direction l'unique station qui regroupe un choix de résidences du camping à l'hôtel 3 étoiles (avec un seul exemplaire de chaque). Pour nous, ce sera le « Backpacker », soit un classique australien, genre auberge de jeunesse, mais pas que pour les jeunes : l'option la moins cher après le camping. Ensuite, on visite un peu les lieux en attendant d'aller voir un « sunset » (un coucher de soleil) : la grosse attraction pour touristes. Là-bas surprise, nous qui croyions voir le soleil se coucher derrière le rocher, c'est tout le contraire... On nous explique qu'avec le soleil dans le dos, on voit mieux les changements de couleurs sur le rocher... On leur fait confiance, ils ont dû étudier le truc : y a que ça à faire ici ! Et comme on arrive toujours un peu en avance, tout est prévu : un petit verre d'une piquette australienne nous attend sur place.
Le soir on prend des forces avant la grosse journée de demain. Au menu : bière locale et brochettes de crocodile au barbecue.
Samedi matin, on décide de louer des vélos et de pédaler la vingtaine de kilomètres qui nous sépare du rocher. Où on loue les vélos : on prend soin de demander si ils ont pas de quoi réparer en cas de crevaison... Négatif, mais pour nous consoler, on a droit à deux très beaux casques qu'on portera toute la journée : loi australienne oblige ! C'est partit donc pour le tour du propriétaire : station – Uluru d'abord (20 km), puis musée aborigène, tour du rocher (10 km), avant de terminer par la fameuse ascension en plein cagnard (300 m de dénivelé à 10% en moyenne avec un début à pas loin de 40%). En chemin on commence à se dire qu'on va en baver pour rentrer à la station en vélo... Mais le jeu en valait la chandelle : comme on dit ici : « Enjoy ! ».
En fin d'après-midi, quand on redescend : mauvaise surprise, le pneu avant de mon vélo, qui rétrospectivement devait se dégonfler depuis le début de la journée, est à plat ! Nous voilà donc à 20 bornes de la station avec un vélo et un épave pour deux. Notez qu'en plein désert, les téléphones portables ne captent pas. Heureusement, on trouve de l'aide au musée aborigène... Bilan : on vient nous chercher en voiture (ce qui, même si ça nous embête un peu, n'est pas si mal, vu ce qu'on a fait aujourd'hui) et on nous fait cadeau de la location du vélo défectueux... Tout bénef. !
Le soir, on profite d'un dernier coucher de soleil depuis la station.
Dimanche, c'est déjà l'heure du départ : achat de quelques cartes postales et dernières photos...
Semaine du 19 au 22 mai 2008 : Premiers résultats importants !
Cette semaine, après avoir repris mes calculs des centaines de fois, et fait des tas de corrections, j'arrive enfin à retrouver les mêmes résultats que d'autres avaient déjà trouvé avant moi (Je résiste à l'envie de publier des magnifiques courbes sur ce blog...). Alors ça peut paraître pas grand chose, mais je coinçais là dessus depuis déjà quelques semaines. Maintenant je vais pouvoir aller un peut plus loin, et j'aurais sûrement moins de mal la prochaine fois !
WE des 17 & 18 mai 2008 : Pas cher le coiffeur !
Ce WE, c'était décidé : l'hiver étant clément dans ces contrées lointaines, nul besoin de garder mon pelage de saison. Suivant les conseils avisés des autochtones, je vais cherché un coiffeur dans une rue où, paraît-il, on peut se faire couper les cheveux pour 8$, soit moins de 5€... Et c'était vrai ! Alors, je savais que les australiens étaient les champions du monde pour tondre les moutons, mais coté coiffure... Le fait est que maintenant je comprends pourquoi ma coiffeuse préférée me prend 12€... Je pense aussi que Damien ferait un très bon coiffeur australien et pourrait même se permettre de prendre 10$ la coupe. Enfin, quelques retouches personnelle plus tard – histoire de couper les mèches qui étaient passées au travers de cette coupe express – plus rien n'y paraît. Bien entendu, j'ai pas pris de carte de fidélité, là-bas : manquerait plus que j'y retourne ! Avec les 10$ que j'ai économisé ce coup là, la prochaine fois ce sera
« coupe de luxe » !
« coupe de luxe » !
Semaine du 12 au 16 mai 2008 : Et encore 650 pages !
Là encore, l'événement de la semaine, c'est mon rythme de lecture, mais attention, cette fois ci il y a une différence majeure : les 650 pages étaient en anglais s'il vous plait ! Bon, en vrai, j'avais commencé au début de la semaine d'avant, en croyant d'ailleurs que j'allais y passer le reste de mon séjour... Et finalement c'était pas si méchant. Ah oui j'oubliais : pour les curieux, le livre c'était « Digital Fortress » de Dan Brown.
WE des 10 & 11 mai 2008 : Anniversaire de Bouddha & « Museum of Contemporary Art »
Comme moi, vous l'ignoriez peut-être, mais Bouddha est né un 8 avril... D'où la bonne idée des bouddhistes australiens de fêter son anniversaire le 10 mai ! Bref, comme le bouddhisme est la religion la plus pratiqué à la maison, je suis cordialement invité au festival organisé pour l'occasion à « Darling Harbour ». Reveil de bonne heure donc Samedi matin pour l'occasion. La suite en images... Vous noterez que certaines vous montrent bien le temps qu'il fait ici actuellement : c'est dur l'hiver !
Vers 14h, comme on a fait le tour du festival et que l'après-midi ne fait que commencer : direction le musée d'art contemporain de Sydney où il y a une expo. gratuite. Là encore, mieux vaut des images que de longues explications.
Semaine du 5 au 9 mai 2008 : un squatteur au bureau...
Et oui, lundi matin, surprise : mes collègues ayant choisis d'écourter leur week-end, en débarquant de très bonne heure, prennent de vitesse un squatteur, qui faute de pouvoir libérer la place pour la journée - comme à son habitude - se planque sous mon bureau... Après mon arrivée, se rendant bien compte qu'il est pris au piège, il tente une percée... A ce moment là, malgré ma surprise, je m'interpose pour l'empêcher de sortir et cherche du regard un objet qui me permettrait de le neutraliser... Cinq minutes plus tard c'est chose faite... Ces papiers d'identité révéleront qu'il s'agissait en fait d'un cousin de mon ex-nouveau colocataire ! En tout cas, c'est une semaine qui commence bien !
J'invite tous les gens qui ne comprendrait pas bien le paragraphe précédent à se réferer l'article du 30 mars de ce blog...
J'invite tous les gens qui ne comprendrait pas bien le paragraphe précédent à se réferer l'article du 30 mars de ce blog...
WE des 3 & 4 mai 2008 : PWET ou Petit Week-End Tranquille
Au programme de ce WE : pas de folies, mais plutôt repos et bain de soleil... Ah oui, parce que ici, il fait très très beau : plutôt pas mal pour l'équivalent d'un début novembre ! J'en profite cependant pour mettre des photos de la cathédrale ou je vais à la messe.
Semaine du 28 avril au 2 mai 2008 : Vive la fête du travail... au travail !
Et oui, après un mois d'avril bien sympa où les australiens consomment près de la moitié de leurs jours fériés annuels, pendant que leur petits camarades de l'autre bout de la planète attendent avec impatience le mois de mai et ses traditionnels ponts, et bien ça y est : le mois de mai est arrivé ! C'est donc tristement que je suis aller travailler jeudi 1er mai dans l'indifférence locale la plus totale. Saison oblige, même pas le moindre parfum de « Lily of the valley » (enfin, de muguet) pour me remonter le moral. Vivement le mois de juin !
« Tout saute, tourbillonne, voltige sous vos yeux, pour finir par atterrir miraculeusement dans votre assiette... » Les amateurs du septième art auront certainement reconnus une réplique du film « L'aile ou la Cuisse » avec Coluche et De Funès. Tout ça pour vous dire que c'est dans un restaurant de ce genre où on est allé mercredi pour fêter les 13 ans de Tiffany, la deuxième des filles de la famille chez qui je loge. On cuisine devant vous, et ensuite, on vous lance le tout que vous n'avez plus qu'à rattraper... Vous serez d'ailleurs sûrement étonnez d'apprendre que malgré mon habileté naturelle, j'ai rattrapé sans problème mon oeuf (frais !) et mon bol de riz ! Malheureusement pour vous, mon appareil photo était resté à la maison...
« Tout saute, tourbillonne, voltige sous vos yeux, pour finir par atterrir miraculeusement dans votre assiette... » Les amateurs du septième art auront certainement reconnus une réplique du film « L'aile ou la Cuisse » avec Coluche et De Funès. Tout ça pour vous dire que c'est dans un restaurant de ce genre où on est allé mercredi pour fêter les 13 ans de Tiffany, la deuxième des filles de la famille chez qui je loge. On cuisine devant vous, et ensuite, on vous lance le tout que vous n'avez plus qu'à rattraper... Vous serez d'ailleurs sûrement étonnez d'apprendre que malgré mon habileté naturelle, j'ai rattrapé sans problème mon oeuf (frais !) et mon bol de riz ! Malheureusement pour vous, mon appareil photo était resté à la maison...
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